Aujourd’hui, Nil (9 ans) a même pu s’entraîner avec le gardien de but de l’équipe nationale, Yann Sommer
Nil, jeune garçon de 9 ans vivant à Liebistorf (FR), a vécu le rêve de nombreux gardiens de but en herbe: s’entraîner avec Yann Sommer. Plus tard, il veut lui aussi devenir le gardien de but de l’équipe nationale suisse de football. Il a déjà la bonne coupe de cheveux.
Toutes les indications de consommation du véhicule s’appliquent au moment de la publication 16.11.2022
«J’ai toujours eu des idoles et je les regardais avec admiration», confie Yann Sommer, 33 ans. Il y a quelques années, dans un article publié sur le site web de la Bundesliga, il citait la légende italienne Gianluigi Buffon, 44 ans, comme son grand modèle. Sommer sait donc exactement ce que c’est que d’être un jeune gardien de but et de rêver de rencontrer un jour son idole.
Nil, jeune garçon de 9 ans vivant à Liebistorf (FR), est l’un de ces gardiens qui peut encore rêver. Il vit dans ce petit village entre Berne et Morat avec ses parents, ses frères Leo (12 ans) et Sam (5 ans) et sa chienne Yva. Quand il était bébé, son premier mot fut «balle». Cependant, jusqu’à présent, la vie de Nil – et sa carrière de footballeur – n’a pas été aussi insouciante: il y a trois ans, il a contracté une méningite bactérienne qui l’a freiné pendant un an. Juste après, c’est la pandémie du coronavirus qui a rendu compliqué les entraînements. Cela ne fait qu’un an environ que Nil peut à nouveau s’entraîner comme il le souhaite. Mais depuis, il le fait quasiment sans s’arrêter – pendant son temps libre ou au FC Gurmels.
«Mon rêve est de jouer dans l’équipe nationale suisse»
«C’est étrange sans ballon dans les mains et aux pied», sourit Nil. Il ajoute: «Mon plus grand rêve est de jouer dans l’équipe nationale suisse». Tout comme Yann Sommer le fera dans les prochains jours lors de la Coupe du monde. Le gardien de but de la sélection suisse de football est effectivement son idole.
On pourrait penser que sa coiffure, cheveux longs et serre-tête, est également inspirée de son modèle. Mais Thomas, son papa, nous explique qu’il s’agit plutôt d’une coïncidence. Tout petit, Nil avait déjà les cheveux longs. «Mais évidemment, il porte un serre-tête comme Yann Sommer.»
« Viens t’entraîner avec moi »
Et c’est justement le joueur qui apparaît sur le téléphone du papa et qui lui annonce: Nil, viens t’entraîner avec moi. Le garçon du canton de Fribourg est l’un des six enfants sélectionnés pour participer à un entraînement avec les gardiens de l’équipe nationale suisse, organisé par Volkswagen, partenaire automobile des équipes nationales suisses.
Nous mobilisons la Suisse du football
L’engagement de Volkswagen dans le football va bien au-delà du simple sponsoring de l’équipe nationale suisse. Nous nous engageons en faveur du sport amateur comme professionnel, des juniors jusqu’aux seniors. Et en faveur de tous ceux qui aiment le foot. Nous sommes aux côtés de Yann Sommer dans ses déplacements. Le footballeur est conquis par la sportivité de son ID.4 GTX entièrement électrique, un SUV durable à traction intégrale dont il apprécie aussi le confort. Et nous nous mobilisons pour réaliser des rêves d’enfant, comme celui de Nil, 9 ans.
Depuis cet appel vidéo avec Yann Sommer, Nil comptait chaque soir au moment de se coucher les jours qu’il restait avant l’entraînement, se souvient Thomas, le papa. Il était très impatient.
L’entraînement fut dirigé par l’entraîneur suisse des gardiens Patrick Foletti, 48 ans. Accompagnés par les meilleurs gardiens de but suisses, Nil et ses amis ont réalisés de nombreux exercices. Il continue d’ailleurs d’en effectuer certains tout seul chez lui.
Après cette rencontre, la joie est toujours aussi grande. Nil a ramené à la maison un ballon signé par tous les joueurs de l’équipe nationale. «C’est un véritable trésor pour lui», explique son père en riant. Personne d’autre que Nil n’a le droit de toucher le ballon.
Nous nous mobilisons pour réaliser des rêves d’enfant
Nil caresse toujours le rêve de devenir un jour gardien de but professionnel. Aujourd’hui, il s’y accroche d’autant plus que Yann Sommer lui a montré qu’il avait lui aussi emprunté cette voie, plus jeune. L’entraînement a également fait le tour du FC Gurmels, déclare Thomas, le papa. On appelle déjà Nil «le petit Sommer».
Et «le grand Sommer», Yann de son prénom, ajoute: «L’essentiel à cet âge, c’est d’aimer ce qu’on fait. Il faut rêver, il faut rêver en grand. C’est aussi mon expérience. Et tout le reste arrive en temps voulu.»
Nil souhaite bonne chance à son idole pour la Coupe du monde: «Le monde doit voir que Yann est le meilleur gardien du monde.»
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